Depuis quelques mois, le Québec a interdit la vente et l’utilisation de certains pesticides, dont le 2,4-D, un désherbant considéré comme étant cancérigène. Le fabriquant de ces produits chimiques, Dow AgroSciences LLC (<>) demande une indemnisation monétaire. Selon Dow, le Québec brimerait l’Accord de libre échange nord-américain. Équiterre, la Fondation David Suzuki et Ecojustice exerce de forte pression au gouvernement canadien afin de défendre l’interdiction québécoise des pesticides chimiques pour pelouse.
La firme Dow conteste la décision qui a été prise par le gouvernement. Elle soutient que les raisons pour lesquelles le produit est désormais interdit ne sont pas justifiables. Pourtant le 2,4-dichlorophénoxyacétique (plus connu sous l’abréviation 2,4-D) contient plusieurs éléments chimiques. Dow a fait mener des enquêtes et à gagné sur un certain point. Il manque de preuves démontrant clairement les risques de cancer chez l’être humain. Bien que les risques de développer un cancer suite à l’exposition au 2,4-D est mitigé, d’autre maladie grave y sont associés, tel que des troubles et des anomalies neurologique et des dommages aux systèmes immunitaire et reproducteur. Dow demande donc de maintenir l’homologation du produit. Puisque le gouvernement refuse, Dow demande une indemnisation de plus de 2 millions de dollars en dommages et intérêts.
L’accord du libre échange nord-américain (ALENA) est une entente entre le Mexique, les États-Unis et le Canada qui a été mise en place en 1994. Cet accord a pour but de créer une zone de libre échange commercial entre ces pays pour exporter et importer des biens. Dans une telle situation, il y a controverse puisque le gouvernement croit nécessaire de brimer cet accord pour le bien de ces citoyens. La province et les municipalités du Québec sont sensiblement du même avis. Il est préférable d’adopter des lois pour protéger la santé des habitants et l’environnement des dangers inutiles qui sont associés à ce type de pesticide.
Pour le procès, les avocats d’Ecojustice vont demander à ce qu’Équiterre et la Fondation David Suzuki puissent intervenir au débat en tant que <> et déposer une demande d’ami de la cour. Très impliquer dans le domaine, Équiterre est un organisme qui a pour but de permet aux citoyens et aux organisations sociales de poser des gestes concrets pour ce qui concerne l’environnement et à la société. Agriculture et transport écologique, efficacité énergétique et commerce équitable font partie des préoccupations premières de cet organisme. Équiterre facilite grandement l’accès à ce type de commerce et procure aux consommateurs le pouvoir de s’opposer aux inégalités des échanges internationaux actuelles, et cela grâce au pouvoir d’achat. Leur implication dans ce débat ne peut donc qu’aider la cause défendu par le gouvernement d’interdire le 2,4-D. Il en va de même pour la Fondation David Suzuki.
Une situation comme celle-ci fait naître de grands débats à savoir si les enjeux monétaire et commercial sont plus importants que ceux de la santé du citoyen dans notre société. Heureusement, le gouvernement et des associations actives au sein de la communauté ne sont pas prêt a laisser leur place et a envisager une possibilité que la population soit affecté par des problèmes de santé, et cela uniquement pour des fins esthétiques destinées aux pelouses et aux jardins. Il est à noter que le Danemark, la Norvège et la Suède ont déjà retiré leur homologation du 2,4-D.
La firme Dow conteste la décision qui a été prise par le gouvernement. Elle soutient que les raisons pour lesquelles le produit est désormais interdit ne sont pas justifiables. Pourtant le 2,4-dichlorophénoxyacétique (plus connu sous l’abréviation 2,4-D) contient plusieurs éléments chimiques. Dow a fait mener des enquêtes et à gagné sur un certain point. Il manque de preuves démontrant clairement les risques de cancer chez l’être humain. Bien que les risques de développer un cancer suite à l’exposition au 2,4-D est mitigé, d’autre maladie grave y sont associés, tel que des troubles et des anomalies neurologique et des dommages aux systèmes immunitaire et reproducteur. Dow demande donc de maintenir l’homologation du produit. Puisque le gouvernement refuse, Dow demande une indemnisation de plus de 2 millions de dollars en dommages et intérêts.
L’accord du libre échange nord-américain (ALENA) est une entente entre le Mexique, les États-Unis et le Canada qui a été mise en place en 1994. Cet accord a pour but de créer une zone de libre échange commercial entre ces pays pour exporter et importer des biens. Dans une telle situation, il y a controverse puisque le gouvernement croit nécessaire de brimer cet accord pour le bien de ces citoyens. La province et les municipalités du Québec sont sensiblement du même avis. Il est préférable d’adopter des lois pour protéger la santé des habitants et l’environnement des dangers inutiles qui sont associés à ce type de pesticide.
Pour le procès, les avocats d’Ecojustice vont demander à ce qu’Équiterre et la Fondation David Suzuki puissent intervenir au débat en tant que <
Une situation comme celle-ci fait naître de grands débats à savoir si les enjeux monétaire et commercial sont plus importants que ceux de la santé du citoyen dans notre société. Heureusement, le gouvernement et des associations actives au sein de la communauté ne sont pas prêt a laisser leur place et a envisager une possibilité que la population soit affecté par des problèmes de santé, et cela uniquement pour des fins esthétiques destinées aux pelouses et aux jardins. Il est à noter que le Danemark, la Norvège et la Suède ont déjà retiré leur homologation du 2,4-D.